Puissance et croyances

Publié le par Aline Tardif

Jusqu’à quel point avez-vous su rester dans votre puissance durant de premier trimestre de 2009?  Que la réponse soit oui ou non, le choix de vos pensées est un facteurs important à examiner.

 

On dit qu’environ 60 000 pensées par jour traversent notre esprit.  Savez-vous quelle proportion de ces pensées est négative?  Pour la moyenne des gens, la réponse est 80%!

 

Pourquoi nos pensées négatives ont-elles tellement d’emprise sur nous? Le problème vient du fait que nous avons hérité d’un cerveau plutôt paranoïaque.  Les premiers humains devaient être très alertes face aux dangers.  Pour eux, c’était une question de survie. Ceux qui n’étaient pas assez vigilants ne vivaient pas assez longtemps pour avoir des descendants!

 

Aujourd’hui, même si la situation a changé, nous sommes portés à réagir avec la même  intensité et à être plus attentifs aux pensées négatives qu’aux pensées positives.  Si, dans une journée, nous recevons quelques compliments et une critique, c’est la critique qui laissera le plus de marque, n’est-ce pas? 

 

Mais les choses n’ont pas à demeurer ainsi.

 

Voici une bonne nouvelle.  Il est possible d’éviter que les milliers de pensées négatives que nous avons chaque jour minent notre santé, car elles sont de véritables poisons.  Pour nous en défaire, nous n’avons pas à les combattre, mais à les questionner.  Il suffit d’accepter une vérité étonnante : 

Nos pensées ne sont pas toujours vraies.

Elles sont des interprétations de ce qui nous arrive.

 

Sachant que nous sommes programmés à interpréter négativement, nous pouvons questionner nos interprétations. Par exemple, enfant, nous avons pu vivre des événements qui nous ont fait croire « Je ne suis pas important », « Je ne suis pas adéquat », « Je n’ai pas le droit de faire d’erreur ».   

 

Est-ce la réalité ou est-ce une croyance?

 

Dans l’océan infini des possibilités qui nous sont offertes, pourquoi est-ce que nous persistons à choisir les mêmes croyances?”

 

Pourquoi rester attacher à une interprétation, surtout si elle ne sert pas nos meilleurs intérêts?  Pourquoi continuer de s’identifier à des pensées qui nous dépriment?

 

Nous ne sommes pas nos pensées, nous sommes les créateurs de nos pensées.  Nous avons donc le pouvoir de questionner nos interprétations et d’en choisir de nouvelles!

 

 

 

Publié dans Confiance

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